Le suicide au travail : retour sur les conflits

Depuis quelques temps maintenant, les journaux nous parlent régulièrement de véritables « épidémies » de suicide dans les grandes entreprises, d’abord chez Renault, maintenant chez PSA ou Areva. On peut se reporter à différents articles récents : ici, ici et . Il y en a bien d’autres.

Un psychiatre spécialiste de la question nous dit ici qu’il s’agit d’un phénomène nouveau et qui se multiplie :

« Autrefois, les suicides au travail étaient rarissimes. Le phénomène correspondait à des situations très précises, comme lors de l'exode rural, qui s'est accompagné d'une crise effroyable dans le monde agricole. Mais, depuis une dizaine d'années, les troubles musculo-squelettiques, le nombre de pathologies liées à la surcharge au travail, ce qu'on appelle aussi les karoshis ("mort par surtravail" en japonais) se multiplient à un rythme inquiétant. »

Le suicide est, depuis les origines, un thème classique de la sociologie. Même si celle-ci ne peut prétendre expliquer chaque suicide individuel – il faut en effet recourir à la psychologie par exemple –, elle a cependant pu montrer qu’il s’agissait d’un acte qui s’inscrit dans un état donné de la société et des liens sociaux. Je ne pouvais donc pas passer à côté. Surtout, étant donné qu’il s’agit de suicides au travail (ou sur le lieu de travail), je voudrais aborder ces quelques évènements dans la continuité de ma récente note sur la grève.


Ce sera également pour moi l’occasion de montrer l’intérêt des auteurs classiques de la sociologie – dont de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle – pour comprendre le monde contemporain. Je vais en effet m’appuyer tout le long de cette note sur le plus classique des classique : Emile Durkheim [1].

1. Le triomphe de Durkheim

Un premier point qu’il me semble intéressant de souligner, c’est la facilité avec laquelle les personnes interrogées dans la presse sur les causes de ces suicides réutilisent la théorie durkheimienne, sans doute sans toujours la connaître spécifiquement. Les « épidémies » de suicide dans les grandes entreprises sont systématiquement reliées à un délitement du lien social. Ainsi, chez PSA, les employés se disent « inquiets de la disparition du lien social ». De même pour Christophe Dejours, le psychiatre interrogé par Le Monde :

« Le suicide est l'aboutissement d'un processus de délitement du tissu social qui structure le monde du travail. Une organisation du travail ne peut pas être réductible à une division et à une répartition des tâches, froides et rationnelles, évaluables à tout instant. Dans le réel, les choses ne fonctionnent jamais comme on l'avait prévu. Elle doit reposer également sur le "vivre ensemble". »

On serait donc en plein dans ce que Durkheim appelle le suicide « égoïste »1, c’est-à-dire le suicide par manque d’intégration au groupe. Les collectifs dans lesquels s’insèrent normalement les individus, en leur donnant des obligations, les protègent du suicide. C’est précisément pour cette raison que Durkheim, « libéral inquiet » de la modernité selon Raymond Aron [2], s’était intéressé au suicide, dont il voyait l'augmentation comme une conséquence inquiétante du développement de l’individualisme à la fin du XIXe siècle.

« Nous arrivons donc à cette conclusion générale : le suicide varie en fonction inverse du degré d’intégration des groupes sociaux dont fait partie l’individu » [1]


D’ailleurs, Durkheim proposait, pour faire face à une augmentation des taux de suicide qu’il considérait comme pathologique, la mise en place de nouvelles structures d’intégration : des groupements professionnels, qui pourraient fournir à l’individu une identité et des relations capables de le protéger du suicide. Là encore, lorsque Christophe Dejours parle de la casse des collectifs de travail, on est très proche de l’analyse durkheimienne :

« Que quelqu'un souffre dans son travail n'est ni nouveau ni exceptionnel. Mais avant, la communauté de travail offrait des contreparties aux conditions de travail difficiles, aux injustices, aux harcèlements, à travers des systèmes de solidarité assez forts, qui permettaient de tenir le coup. On ne laissait pas l'autre s'enfoncer. Le problème, c'est qu'aujourd'hui, souvent, le lien social a été liquidé, on ne peut plus compter sur les autres, parce que la communauté est divisée et désorganisée. »

De ce point de vue, il ne me semble pas exagéré de parler de triomphe de Durkheim. Son idée, que le suicide renvoyait aux liens sociaux, n’avaient rien d’évidente lorsqu'il l'a formulé. Après tout, c’est rarement l’explication qu’en donne directement les suicidés lorsqu’ils laissent des explications de leur geste. Dans le cas qui nous intéresse ici, il semble que certains évoquent le stress ou la pression. Pour tout suicide, on pourrait trouver des causes individuelles et personnelles – « sa femme l’a quitté », « son enfant est mort dans un accident de voiture », « il a été viré », « elle est ruinée », « on l’a écarté du dossier Mac Dougall » – qui pourrait éclipser les causes proprement sociales, voire sociétales, de cet évènement individuel. Cela ne veut pas dire, bien sûr, que ces causes sont fausses et n’ont pas jouée. Simplement, elles ne sont pas les seules en jeu, ne serait-ce que parce que d’autres individus dans la même situation n’ont pas le même comportement. La théorie de Durkheim est donc parvenue à s’imposer comme allant de soi, au moins dans ces situations particulières où une série de suicides prend place au même endroit.

2. Suicides égoïstes ou anomiques ?

Il faut cependant signaler que l’on parle beaucoup plus des suicides comme des « suicides égoïstes » que comme des « suicides anomiques », ceux causés par un manque de régulation, c’est-à-dire un moment où la société ne parvient plus à imposer des règles à l’individu et à limiter ses désirs. Durkheim parle en effet de l’anomie comme du « mal de l’infini ».

C’est pourtant ce type de suicide qui inquiétait le plus Durkheim. Pour lui, « l’homme individuel est un homme de désir, et dès lors la nécessité première de la morale et de la société est la discipline » [2]. La progression de l’individualisme laisserait l’homme en dehors de toute inscription fournissant des limites à ses désirs, ce qui mènerait finalement au suicide.

Cette explication est-elle à rejeter ? En reprenant certaines idées développées précédemment, il me semble que cette idée n’est pas totalement absurde, et elle peut au moins être posée comme hypothèse. Non pas que les travailleurs se suicident par trop plein de désirs qu’ils ne pourraient pas réaliser. Mais plutôt par le fait qu’ils se trouvent pris dans des incitations contradictoires, que les groupes sociaux dans lesquels ils s’inscrivent leur fixent des objectifs incompatibles entre eux.

Comme je l’ai présenté, l’équipe de François Dubet est parvenu à montrer, dans Injustices [3], que les individus organisent leurs jugements de justice au travail en fonction de trois principes : l’égalité, le mérite, l’autonomie. Ce dernier principe, l’autonomie, est important : il est particulièrement valorisé, et ce aussi bien par les employés que par les employeurs. Le « nouvel esprit du capitalisme » s’articule largement autour de l’idée d’un travailleur très compétent et autonome, le capitalisme ayant digéré, selon Luc Boltanski et Eve Chiapello [4], la « critique artiste » d’un capitalisme destructeur de l’individualité et de l’originalité. Il est d’ailleurs notable que l’essentiel des suicidés recensés par la presse soit des employés et non des ouvriers peu qualifiés : ce sont les premiers qui sont le plus soumis à ce « nouvel esprit du capitalisme », incités à une très forte implication personnelle dans leur travail.

On peut alors faire l’hypothèse suivante : les salariés sont incités, socialement, à être le plus autonome, les plus inventifs, les plus créatifs, bref les plus individuels possibles. Dans le même temps, ils subissent de fortes contraintes liées aux impératifs de l’entreprise en termes de rentabilité et d’efficacité. La contradiction entre ces deux principes amène un manque de régulation, pourvoyeur d’une forme de suicide « anomique ».

On peut rappeler, afin d’illustrer ces contradictions, quelques uns des paradoxes relevés par Jean-Louis Laville [4] dans le secteur des services : exigence d’un contact personnel avec le public ou la clientèle, mais évaluation des performances toujours calée sur des normes quantitatives, appel à l’innovation constante mais absence de moyens et de reconnaissance pour transformer le travail, réorganisation des activités sous couverts de polyvalence et durcissement en fait des vieilles pratiques tayloriennes.

Cette approche n’est pas contradictoire avec les problèmes que pose la déstructuration – beaucoup plus qu’une destruction sciemment organisée – des collectifs de travail. Au contraire. D’une part, il faut se souvenir que les types de suicide élaborés par Durkheim sont des idéaux-types : dans la réalité, ils se trouvent toujours mêlés, bien qu’à des degrés divers, comme le rappelle Dominique Schnapper [5] :

« L’intensité des relations entre les individus conduit à l’élaboration de règles communes dont l’existence, à son tour, renforce l’intensité des relations interpersonnelles à l’intérieur du groupe, qui à leur tour, accroissent le contrôle que le groupe exerce sur les individus. Lorsque l’intégration s’affaiblit, le taux de suicide augmente, c’est ce que Durkheim qualifie de « suicide égoïste », l’individu ne pensant plus qu’à lui-même. Lorsque la régulation s’affaiblit, le taux de suicide augmente, parce que l’individu ne connaît plus les règles qui contrôlent ses désirs infinis, c’est ce que Durkheim qualifie de « suicide anomique ». Mais, dans les faits, l’intégration et la régulation sont étroitement et nécessairement liées » [5]

Suicide « égoïste » et suicide « anomique » vont ici de pair, et ce d’autant plus que cette déstructuration des collectifs est liée à ce « nouvel esprit du capitalisme », à une valorisation de l’individu y compris dans l’entreprise2. Surtout, les normes s’établissent dans les groupes, et l’individualisation croissante des tâches a aussi à voir avec cette valorisation de l’autonomie et les limites concrètes qu’elle rencontre.

On peut relier l’hypothèse que j’avance à certains aspects du travail de Christian Baudelot et Roger Establet [6] (voir ici et ici pour une présentation complète). Reprenant les analyses de Durkheim, les deux sociologues montrent que la hausse des suicides qui inquiétait tant le fondateur, et qu’il liait à l’enrichissement des sociétés occidentales, s’est arrêté vers les années 1920. Le capitalisme parviendrait à produire des collectifs qui protègeraient les individus, notamment justement par la valorisation et la réalisation de soi dans le travail. On peut penser que c’est la poursuite à l’extrême de cette logique, mêlée à des conditions de travail de plus en plus contraignantes qui déstabilisent ces protections.

3. Le conflit, encore et toujours

Je voudrais terminer ces quelques remarques en revenant sur la problématique des conflits du travail. J’ai tenté de montrer que les conflits du travail étaient, en France, non seulement importants, mais également coûteux car ne pouvant s’exprimer3. Qu’est-ce que ces histoires de suicide apportent à cette idée ?

Tout d’abord, on peut avancer que le suicide est une forme de manifestation du conflit, ou plus exactement d’échec de la formulation d’un conflit – dans une perspective simmelienne où le conflit est déjà une relation, ou une perspective tourainienne où le conflit nécessite un minium d’accords et d’intégration. Faute de pouvoir se défendre collectivement, les salariés se retrouvent sans aide, sans soutien et donc dans des situations à la fois « égoïstes » et « anomiques ». Le suicide est l’expression la plus forte d’un conflit qui ne trouve d’expression collective. De ce point de vue, il serait politiquement souhaitable de trouver des moyens de redonner des espaces d’expression aux conflits des salariés. C’est en confrontant leurs demandes – de protection, d’autonomie, de contrôle sur leur travail – et les exigences des entreprises que pourra s’élaborer une solution collective à un problème dont les suicides ne sont, finalement, qu’une expression extrême et malheureuse. Là encore, le champ est ouvert pour des solutions diverses, dont certaines sont encore à inventer.

Ensuite, on peut espérer que la reprise par la presse de ces différents cas de suicide serve, au moins, à faire émerger dans l’espace public un véritable débat sur cette question des conflits du travail. Ils permettront peut-être de mettre cette question sur l’agenda politique. Le risque demeure cependant que cette question reste cantonnée au cas des suicides alors que, j’espère l’avoir montré, le problème est plus large. Un numéro vert (voir la fin de cet article) n’y suffira sans doute pas. Espérons que des associations ou les syndicats sauront prendre la mesure du problème. C'est ici les militants et pourquoi pas aux lobbyistes qui ont un rôle à jouer (petit clin d'oeil).

4. Pour conclure : un peu de modestie

Double modestie en fait. La mienne toute d’abord : je ne dispose pas de suffisamment de données pour tester l’hypothèse que j’ai essayé de formuler. Je ne prétends donc pas qu’elle épuise le réel. Elle a pour première vocation de montrer que les constructions théoriques de la sociologie, y compris de la plus classique des sociologies, peuvent se montrer utile lorsqu’il s’agit d’approcher un phénomène contemporain.

Modestie de la sociologie ensuite : si cette science peut étudier le suicide, montrer qu’il existe des régimes de suicide différents selon les époques et les sociétés, elle ne fournit pas pour autant une réponse satisfaisante pour chaque suicide considéré individuellement. Elle peut expliquer pourquoi certains individus, ayant en commun un certain nombre de propriétés sociales, se trouvent, à un moment donné, dans une position particulièrement favorable au suicide. Pour savoir pourquoi telle ou telle personne s’est effectivement suicidé, il faut recourir à d’autres sciences humaines, avec d’autres méthodes et d’autres théories. La psychologie et la psychiatrie se trouvent ici au premier rang.

L’apport spécifique de la sociologie, outre de montrer comment l’acte le plus individuel et le plus intime est en fait profondément inscrit dans les relations sociales (ce qui était le projet de Durkheim), est d’attirer l’attention sur le fonctionnement de la société, sur le rôle que joue l’intégration et, ici, le mode d’expression des conflits.

1 Ce qualifiquatif d'égoïste doit se comprendre en dehors de tout jugement moral : il ne s'agit pas de prétendre que les personnes qui se suicident sont égoïstes, mais simplement de souligner que le suicide intervient parce que "ego" se trouve isolé.

2 Ce phénomène a bien sûr beaucoup à voir avec une stratégie de management de réduction des coûts et d’intensification du travail, mais il ne peut s’y réduire totalement.

3 J’en profite pour préciser un point qui n’était peut-être pas clair dans cette précédente note. Mon propos n’était pas de nier l’importance des grèves dans la fonction publique, mais simplement de montrer qu’elles avaient une sérieuse tendance à masquer les conflits dans le privé, lesquels sont au moins sinon plus importante et coûteuse pour l’économie. Je reviendrais sur le problème des grèves et protestations dans la fonction publique ultérieurement, sans doute lorsque l’actualité s’y prêtera – ce qui ne devrait guère tarder.

Bibliographie :

[1] E. Durkheim, Le suicide. Etude de sociologie, 1897

[2] R. Aron, Les étapes de la pensée sociologique, 1967

[3] F. Dubet, Injustices. L’expérience des inégalités au travail, 2006

[4] J.-L. Laville, Sociologie des services, 2005

[5] D. Schnapper, Qu’est-ce que l’intégration ?, 2007

[6] C. Baudelot, R. Establet, Suicide. L’envers de notre monde, 2006

10 commentaires:

Anonyme a dit…

Les notes se suivent et la qualité ne faiblit pas ! Bravo.

A propos de celle-ci, je me demande si on pourrait pas rajouter en biblio indicative La fatigue d'être soi d'Alain Erhenberg. Il ne traite pas du suicide mais de la dépression, de son explosion dans nos sociétés contemporaines. Il analyse un phénomène souvent laissé aux spécialistes du psychisme avec le regard d'un sociologue, et fait le parallèle avec les mutations de la société.

Anonyme a dit…
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
André a dit…

Je préparer un billet pour indiquer votre blog et ce bel article. J'aurais aimé nommer l'auteur. Quelle est la "fonction positive" de l'anonymat absolu ?

Denis Colombi a dit…

@ De Chateauvieux : vous pouvez me désigner sous le nom de Badtz ou simplement "Une heure de peine". Mon anonymat est essentiellement motivé par la volonté de ne pas me mettre personnellement en avant, et aussi de ne pas être facilement "googlelizable", notamment par mes futurs élèves... Cela me donne plus de liberté.

Denis Colombi a dit…

@ Pierre M : je pense en effet qu'entre suicide et dépression la situation ne doit pas être très différente. En tout cas, la sociologie a sa place à côté de la psychologie et de la psychiatrie.

@ De chateauvieux : pourriez-vous me donner l'adresse de votre blog ?

André a dit…

Pour Badtz : Voici l'adresse de mon blog http://blog.art-de-changer.com/
Et aussi le texte du prochain billet : Regard sociologique sur "l'épidémie de suicide dans les entreprises"
Un article à lire avec intérêt, sur un nouveau blog : http://uneheuredepeine.blogspot.com/
Le regard d'un sociologue sur les "épidémies de suicide" dans les grandes entreprises en France ; alors qu'au Japon se multiplient les "karoshis", "morts par surtravail".
Un regard singulier qui permet de dépasser les causes individuelles affichées : "il a été viré", "sa femme l’a quitté"...
Pour les sociologues, "l’acte le plus individuel et le plus intime est profondément inscrit dans les relations sociales" (Durkheim). Le suicide est vu ici comme une pathologie du lien social, comme "l'aboutissement d'un processus de délitement du tissu social", du "vivre ensemble" dans le monde du travail (Christophe Dejours).
Je lis ici un écho à une limite du coaching individuel : psychologiser, intérioriser des contraintes générées par le système. En particulier, lorsque le coaching est "prescrit", "adaptatif", "correctif", comportementaliste... Le remède est alors pire que le mal !
Le "coaching en groupe"(cf. "GAPs" sur art-de-changer.com) est, pour moi, une alternative au coaching individuel en particulier pour les "métiers impossibles" : il permet de recréer du lien social, tisser de nouvelles solidarités entre pairs... Lors des premiers "GAPs", je voyais ici un "bénéfice secondaire" et je demandais à chacun d'apporter d'abord une situation sensible. Au fil des séances, j'ai réalisé que la demande était d'abord de se retrouver entre pairs. Je parle aujourd'hui de "coaching tribal".
L'article évoque aussi des structures d’intégration, comme les groupements professionnels, pour "fournir à l’individu une identité et des relations capables de le protéger du suicide" (Durkheim).
Lire l'article sur le blog de l'auteur : http://uneheuredepeine.blogspot.com/
L'auteur souhaite partager ses analyses avec le plus grand nombre, mais il ne donne pas son nom...

Unknown a dit…

@ badtz
à propos de l'anonymat, je suis grillé depuis des années sur Google, c'est mort donc pour mes futurs élèves. Par contre ce qui est cool avec blogger, c'est que mon blog est considéré comme hébergé aux états-unis, donc dans les recherche de google.fr orienté sur France par défaut, ça ressort pas ;-) C'est cool vis à vis des élèves (bien que j'ai plus peur de l'administration que de mes élèves), mais moyen pour le référencement...

Anonyme a dit…
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
Denis Colombi a dit…

@ cnt-ait : les commentaires d'un blog ne sont pas un bon endroit pour envoyer votre propre prose. Je supprime donc.

Anonyme a dit…

on va etre concis, et la rentree pour les harceleurs et autres nuisibles cons au travail va être nous vous l'assurons mouvementée !


Tonvoisin Debureau
Ministere autonome de la valeur travail
http://www.travailleravecdescons.com

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