tag:blogger.com,1999:blog-17346897.post6486924310753373596..comments2024-03-01T09:48:08.099+01:00Comments on Une heure de peine...: ...pour être laissée à des rigolosUnknownnoreply@blogger.comBlogger19125tag:blogger.com,1999:blog-17346897.post-64849554650574227392014-01-13T09:54:50.848+01:002014-01-13T09:54:50.848+01:00Bonjour,
Merci pour ce billet.
J'aimerais at...Bonjour,<br /><br />Merci pour ce billet.<br /><br />J'aimerais attirer votre attention sur une dimension que, à lire (la plupart des) commentaires, vous n'avez pas saisi dans la plaisanterie "ultragay".<br /><br />Elle n'a pas une fonction d'exclusion (contre les homosexuels) mais une fonction de formatage (pour les hommes hétérosexuels). En stigmatisant à travers l'homosexualité supposée du personnage des comportements généreux et sensibles, elle enseigne aux hommes qui souhaitent être intégrés au groupe 'viril' (la projection mentale de ce que devrait être un homme hétéro) à se comporter de manière misogyne et violente avec les femmes.<br /><br />Cette plaisanterie a donc deux conséquentes nocives :<br />1/ La première, que vous identifiez tous très bien, c'est qu'en utilisant le terme "ultragay" comme repoussoir, elle valide et nourrit l'ostracisme à l'encontre des hommes homosexuels.<br />2/ La seconde, que personne n'a touché du doigt, mais l'aveuglement face au sexisme est courant, c'est qu'elle formate les hommes afin qu'ils soient, ou du moins cherchent à paraître, méprisants face aux femmes. Elle les entraîne à se comporter comme des ordures, à traiter les personnes qu'ils désirent comme des objets de consommation.<br /><br />Et je crois que la seconde conséquence me fait infiniment plus peur que la première. <br /><br />Je me rappelle d'un petit ami, à l'UCPA, qui était allé me chercher des morceaux de viande à un barbecue. Des garçons s'étaient moqués de lui en soulignant que je semblais porter la culotte. Ça l'avait agacé car il percevait bien cela comme une tentative de conditionnement et de rappel à l'ordre : reste sur les rails !<br /><br />Il n'avait pas réalisé que la véritable victime du procédé, ce n'était pas lui (le destinataire de la plaisanterie) mais moi : les garçons en question lui demandaient de me traiter méchamment. <br /><br />Dernière chose : ce n'est pas parce que certains publics sont suffisamment intelligents pour réaliser que le personnage véritablement ridicule, dans la plaisanterie, n'est pas le jeune garçon (dont on s'attend à un discours misogyne d'après sa dégaine et qui se révèle en réalité gentil) mais le commentateur invisible qui l'injurie en le traitant d'homosexuel, que la plaisanterie en devient pour autant inoffensive. Il suffit de répéter suffisamment une chose pour qu'elle soit perçue comme vrai (demandez aux politiciens !). A force de répéter ce qu'est un vrai mec...Clarissehttps://www.blogger.com/profile/02108666267433207511noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-17346897.post-33989736385789403492013-10-06T10:53:35.080+02:002013-10-06T10:53:35.080+02:00>>> Denis Colombi : merci pour ce second ...>>> Denis Colombi : merci pour ce second article : une mise au point de cette notion de second degré tellement galvaudée était importante pour faire suite à votre précédent article. J'y suis particulièrement sensible, parce que ma mère dès mon enfance s'est servie de cette notion de second degré et de l'excuse comme quoi je n'avais pas d'humour pour me meurtrir. Ca fait des années que j'essayais de comprendre ce qui clochait dans ce mécanisme de sape, mais je n'y parvenais pas parce que ça me touchait de trop près ; grâce à vous, je viens de le comprendre ce matin.<br /><br /><br />====================================<br /><br />GH a dit…<br /><br /> Cela me fait penser à ce billet de blog de (l'excellent) Gérard Noiriel :<br /><br /> http://noiriel.over-blog.com/article-salut-la-vranze-a-propos-de-l-accent-d-eva-joly-97799951.html<br /><br /> Question subsidiaire : pourquoi ma femme rit-elle aux gags sexistes d'Un gars une fille ?<br /> <br />>>> D'abord merci pour le lien vers l'article ; il est passionnant à lire. Je ne connaissais pas l'exemple historique de M. Legitimus, mais pour fréquenter certains parlementaires français, je sais à quel point ils se servent de "l'humour", du "bon mot" et de ce fameux "second degré" dont tout le monde parle pour se dédouaner de faire des blagues pourries pour destabiliser et détruire leur adversaire quand ils le peuvent. Ils se servent aussi de l'humour pour éviter de répondre aux questions qui les embêtent, lors de débats, ou d'interviews : le temps qu'il pondent une réflexion humoristique sur leur adversaire, il le perdent à répondre effectivement à la question, et si la blague est drôle, en plus ils emportent l'adhésion du public, qui n'en sait finalement pas tellement plus sur la question évoquée mais trouvent le politicien drôle donc bon dans son rôle... L'humour est une arme polyvalente, utile aussi bien en défense qu'en attaque, en politique.<br /><br />Pour finir, je voudrais vous répondre que votre femme rit des épisodes d'un gars et d'une fille non pas parce que c'est du second degré, mais une parodie de ce qu'elle vit. Elle peut ensuite utiliser ce qu'elle a vu pour vous le pointer mentalement et se dire : "là, t'as vu ?! Tu fais pareil que Jean, t'es chiant"... Ca la conforte dans l'impression qu'elle a raison, et c'est pareil d'ailleurs pour les hommes qui regardent la série : les défauts de leur femme sont caractérisés sur le petit écran, les dispensant d'en parler... Un gars une fille, c'est une parodie de couple : tout le monde en prend pour son grade, tout le monde rigole, mais quand un couple regarde ensemble la série, aucun des deux ne se rend vraiment compte que sa moitié rigole à ce que lui/elle ne trouve pas drôle... Ce qui compte, c'est de rigoler ensemble, du coup. C'est la catharsis grecque.Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-17346897.post-88154695840818789462013-09-08T13:42:52.061+02:002013-09-08T13:42:52.061+02:00A Noli :
Hah, je ne suis donc pas la seule à utili...A Noli :<br />Hah, je ne suis donc pas la seule à utiliser cette petite pirouette : )<br /><br />Detroy :<br />Mais allez, ce qui est "obvious" c'est que le mot a été utilisé comme une insulte et c'est extrêmement courant. Fais pas comme si tu venais de naître.<br /><br /><br />PS : rapport au mot "boobs" (je suis britannique) il est moins laid que le mot "nichons".<br />C'est plus comme dire "bunny" pour désigner un lapin, je ne crois pas qu'il y ai d'équivalence en français.<br />Tous les mots français que je connais désignant la poitrine me font penser à l'arrière boutique obscure d'une DVDthèque.Caz-la-Chosehttps://www.blogger.com/profile/10619419266398673782noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-17346897.post-47115051046750564732013-07-13T17:07:35.556+02:002013-07-13T17:07:35.556+02:00Bel article.
La plupart du temps, pour laisser les...Bel article.<br />La plupart du temps, pour laisser les gens se rendre compte tout seul de combien leur blague est insultante, je leur demande de remplacer "nana / gonzesse / femme" par "noir / juif" (Lorsque c'est possible dans le contexte). Ca a son petit effet. Nolihttp://blog.noli.frnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-17346897.post-86509083626898494102013-03-29T22:13:06.189+01:002013-03-29T22:13:06.189+01:00J'ai sans doute loupé un truc avec cet exemple...J'ai sans doute loupé un truc avec cet exemple sur la "gayitude" supposée de ce jeune homme. Je ne vois aucun cliché gay dans tout ça. Tout ce que cette série de photo et leur conclusion "dit" des homosexuels hommes c'est qu'ils ont moins d'attirance physique qu'intellectuelle pour les femmes... obvious non ?<br />En fait le principal cliché que ça véhicule c'est qu'être hétéro c'est être un sale con machiste.Detroynoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-17346897.post-58085276779988732582012-09-23T05:59:03.691+02:002012-09-23T05:59:03.691+02:00Anonyme : "L'air un peu niais du jeune ho...Anonyme : "L'air un peu niais du jeune homme, le fait que se soit des images détournées, le phoque qui fait bonne enfant, le fait qu'il parle de "boob" et non de "chest" et puis après de "heart" ce qui crée un décalage avec un discours véritablement courtois."<br /><br />Je ne pense pas que les images soient détournées. En fait (si j'ai bien tous les éléments en main) il y a quelques mois, une fille a fait le même montage en écrivant "Hey girls, did you know that your boobs go inside your shirt ?" qu'elle avait fait contre les filles qu'elle jugeait sur leur façon trop provocante selon elle de s'habiller. Une autre fille a répondu avec un montage du même genre en disant "Hey girls, did you know that my boobs go wherever I want ?" ou quelque chose comme ça. C'est ensuite devenu un meme récurrent que les gens n'ont cessé de reprendre. D'où l'utilisation du mot "boobs" au lieu de "chest" (qui ne serait pas correct de toute façon, ce serait plutôt "breasts" qui serait le mot poli à employer mais peu importe xD). Donc, oui à mon avis, c'est une image qui a bien été faite par ce garçon, qui reprend le mot peu élégant de "boobs" pour répondre à cette remarque sexiste (donc il y a bien un décalage, mais à but positif, pour détourner l'insulte de base), à laquelle on a ajouté le phoque pour se moquer de lui.Cécilia L.noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-17346897.post-80768076040547955112012-09-02T15:21:25.019+02:002012-09-02T15:21:25.019+02:00@ Tetris : je pense que l'audience compte beau...@ Tetris : je pense que l'audience compte beaucoup dans la blague et son caractère potentiellement blessant.<br />Oui, évidemment qu'une telle blague est blessante envers les gays. C'est pour ça qu'une blague en vadrouille sur internet est gênante car blessante potentiellement pour des gays,beaucoup de gays.<br /><br />Fiction : dans ta situation, ton ami est gay mais ne vous l'a jamais dit. Rirait-il pareil ? Se forcerait-il à rire pour ne pas avoir l'air à coté de la plaque ? Probablement. Se sentirait-il blessé, exclu, gêné ? Probablement. Oserait-il alors vous faire son coming-out, ce sur quoi il hésitait depuis longtemps ? Difficile...<br />Voilà pourquoi je pense que les blagues sur les gays et lesbiennes en particulier sont très sensibles.<br /><br />Tout ça pour dire que je suis d'accord que les gens avec qui on rit sont importants, et j'ai l'impression que ça vaut beaucoup pour les blagues sur les communauté discriminées. Quand elle viennent de la catégorie des discriminants, elles ne peuvent qu'être prises comme une insulte par les discriminé-e-s. Une forme de mainsplaining, qu'on pourrait décliner pour tous-tes les discriminé-e-s.<br /><br />@Denis Colombi : la question qui me reste est celle la réappropriation de l'humour par les discriminés, qui est une forme de second degré. Des femmes, des féministes qui font des blagues sexistes entre elles, en reprenant des clichés qu'elles dénoncent, idem pour les gays, lesbiennes, noirs, etc. Je me demande dans quelle mesure c'est un mécanisme de défense efficace (comme la réappropriation des insultes), nécessaire, qui fait ou non avancer les choses, stérile ou qui peut éveiller quelques consciences. Ou si cela n'est possible qu'exclusivement dans la dite communauté discriminée.<br /><br />Merci encore pour ces articles !<br />Zoenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-17346897.post-7287115694288233362012-08-24T18:25:49.934+02:002012-08-24T18:25:49.934+02:00@ Tetris - Je vois, c'est du type "c'...@ Tetris - Je vois, c'est du type "c'est pas possible il est gay !" pour décrire positivement qu'un mec a des qualités qui dans les clichés ne devraient pas être des propriétés masculines. Mais je ne suis pas convaincu que cela remette en cause le double cliché / "comment sont les gays" / "comment sont les vrais mecs". (nb il m'arrive de rire à ce genre de choses donc le sens de mon intervention n'est pas de dénigrer votre commentaire).<br /><br />Sinon pour la blague de l'insulte Gay sur ce poste c'est "pire" si on peut dire car on ne connaît pas l'auteur donc on n'a aucun signe de second degré.Rudinoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-17346897.post-84681406261757996632012-08-24T15:44:51.152+02:002012-08-24T15:44:51.152+02:00Merci pour le second billet !
Du coup, cas pratiqu...Merci pour le second billet !<br />Du coup, cas pratique sur le "Ultra Gay". <br /><br />Tout d'abord disons que seul, derrière mon écran la blague ne fait pas plus rire que cela, toutefois après un temps.... elle me rappelle une situation, situation qui m'avait fait rire, et donc par ce souvenir me fait indirectement rire à nouveau. <br /><br />Cette situation, c'est celle de l'insulte "gay" lancé envers un personnage trop sensible ou généreux ou tout simplement bon, avec comme audience un ami (nous sommes deux hommes). Ce qui est drôle, c'est la mauvaise foi rageuse qu'il y a derrière l'insulte et qui dit en substance "je n'aurai certainement pas un comportement aussi bon que ce personnage, du coup, plutôt que de reconnaitre ma faiblesse et sa force, je questionne sa sexualité en utilisant un cliché ouvertement idiot et macho".<br /><br />Le ton utilisé dans l'insulte, le caractère évident du cliché font que mon ami rit non pas de la personne insulté mais de ma mauvaise foi affichée et de la violence excessive que j'utilise pour me défendre. Bref, on rigole de notre bêtise. <br /><br />Une fois cela remémoré, le montage "Ultragay" devient pour moi une référence à toute cette communauté de personnes qui utilisent cette blague de l'insulte "gay" pour mettre en avant leur propre faiblesse.<br /><br />Est-ce blessant pour les gays ? Je ne sais sincèrement pas. Ce qui est sûr, c'est que ce n'est pas l'objectif. Est-ce beauf ? Je ne sais pas non plus...<br /> Tetrisnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-17346897.post-49919805935472516132012-08-24T01:48:10.993+02:002012-08-24T01:48:10.993+02:00Il ne faut pas confondre l'ironie avec le sarc...Il ne faut pas confondre l'ironie avec le sarcasme ou la dérision. L'ironie est un domaine très vaste, susceptible d'être utilisé en comédie comme en tragédie.<br /><br />L'avant-dernière phrase de Rudi m'a fait penser à un élément du discours qu'on a tendance à négliger : le positionnement du locuteur. Autrement dit, d'où l'on parle.<br /><br />En matière d'humour, c'est pareil, il est important de savoir d'où l'on rigole.<br /><br />Un des talents de Desproges est d'avoir savamment construit son positionnement humoristique, à partir duquel il a pu sortir des trucs comme "On me dit que des Juis se sont glissés dans la salle. Vous pouvez rester." et de continuer avec des blagues sur les Juifs sans jamais être accusé d'antisémitisme (bon, en plus de ça, il maniait l'outrance, l'hyperbole ironique, avec une précision d'horloger).Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-17346897.post-13065027102865731332012-08-23T22:58:43.218+02:002012-08-23T22:58:43.218+02:00Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-17346897.post-84728724485769961272012-08-23T18:35:46.746+02:002012-08-23T18:35:46.746+02:00@ Anonyme - Ce que vous décrivez sont des éléments...@ Anonyme - Ce que vous décrivez sont des éléments qui indiquent qu'il s'agit d'humour mais pas qu'il s'agit de second degré (aucun de ces éléments ne remet en cause le fait que "ahah il faut être une pédale pour être davantage sensibles aux sentiments qu'un tour de poitrine, re ahah")<br /><br />Chapeau pour cet article ! Je suis tout à fait d’accord quand vous dites « dans le test de Console+ dont on parlait la dernière fois (…) le décalage ne provient pas de la distance entre ce qui est pensé et ce qui est dit, mais de l’exagération de certains traits prêtés aux femmes ». Puis qu’il y a une différence entre rire du stéréotype en tant que tel et rire de son caractère de stéréotype. Effectivement, un vrai second degré donne toujours des indices qui montrent que la proposition a un sens contraire au premier degré. J'ajouterai : ou alors on connaît suffisamment l'auteur qui du coup nous avait déjà donné des indices qu'il pense le contraire auparavant, d’une manière directe ou indirecte. Bref j’arrête ici, je ne peux que continuer à répéter bêtement ce que vous avez déjà dit :)<br />Rudinoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-17346897.post-17178791042595207962012-08-23T18:32:56.600+02:002012-08-23T18:32:56.600+02:00"Tragedy is when I cut my finger. Comedy is w..."Tragedy is when I cut my finger. Comedy is when you walk into an open sewer and die."<br />Mel BrooksAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-17346897.post-79434269759582726022012-08-23T17:09:16.188+02:002012-08-23T17:09:16.188+02:00Anonyme> C'est effectivement de l'humou...Anonyme> C'est effectivement de l'humour sur le dos des gentils garçons et des "bons sentiments", le problème vient du fait que d'une part on utilise le mot "gay" comme une insulte et que d'autre part, on renforce le stéréotype de l'individu gay gentil/fragile/niais.Adrien Méniellehttps://www.blogger.com/profile/10147152842111192602noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-17346897.post-4723908414425162702012-08-23T15:01:13.763+02:002012-08-23T15:01:13.763+02:00Cela me fait penser à ce billet de blog de (l'...Cela me fait penser à ce billet de blog de (l'excellent) Gérard Noiriel :<br /><br />http://noiriel.over-blog.com/article-salut-la-vranze-a-propos-de-l-accent-d-eva-joly-97799951.html<br /><br />Question subsidiaire : pourquoi ma femme rit-elle aux gags sexistes d'Un gars une fille ?GHnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-17346897.post-83336149644719108292012-08-23T13:47:47.242+02:002012-08-23T13:47:47.242+02:00Bonjour,
Votre dialogue sur l'humour et le sec...Bonjour,<br />Votre dialogue sur l'humour et le second degrés est assez édifiant et plein de bon sens.<br />Je me permet de faire deux remarques :<br /><br />1) Dommage qu'il n'y est pas de référence à Bergson, je veux dire en dehors de la peau de banane: car il définit assez bien la "méchanceté" que l'on peut retrouver dans le rire. Mais votre propos reste on ne peux plus clair.<br /><br />2) Dans votre exemple "ultragay" il y a des éléments de décalage, bien que vous ne les souleviez pas, et ceux pour mieux appuyer votre propos, par exemple: L'air un peu niais du jeune homme, le fait que se soit des images détournées, le phoque qui fait bonne enfant, le fait qu'il parle de "boob" et non de "chest" et puis après de "heart" ce qui crée un décalage avec un discours véritablement courtois.<br />Bref c'est de l'humour sur le dos des gentil garçon... Et surement sur celui des gays...<br /><br />Bonne continuation<br /><br />baaberithAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-17346897.post-53648618265413623462012-08-23T13:26:45.970+02:002012-08-23T13:26:45.970+02:00Je me disais bien... S'arrêter alors que tu es...Je me disais bien... S'arrêter alors que tu es en train de te farcir Gannondorf, faut pas pousser... Oui, c'est ce que j'ai retenu de l'article!francoistanguynoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-17346897.post-11677594533656178342012-08-23T12:05:55.889+02:002012-08-23T12:05:55.889+02:00Vous n'avez strictement rien compris au billet...Vous n'avez strictement rien compris au billet. Je doute même que vous l'ayez lu tant votre commentaire est à côté de la plaque. Denis Colombihttps://www.blogger.com/profile/16309032409077414330noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-17346897.post-70063849670669013072012-08-23T12:03:53.968+02:002012-08-23T12:03:53.968+02:00Si j'ai bien compris, si je pars du principe q...Si j'ai bien compris, si je pars du principe que la majorité des gens sur Internet sont des "gens biens" alors lorsque je rencontre de l'humour sexiste j'aurai tendance à penser qu'il s'agit de 2nd degré. Toi qui pense que l'humanité est pourrie jusqu'à la moelle, tu verras ça comme du 1er degré et ça renforcera ta preconception sur le genre humain.L'humoriste masquéhttp://www.youtube.com/watch?v=LOZRgOx5sM4noreply@blogger.com